mardi 29 janvier 2013

LA CONVIVIALITÉ AU TRAVAIL, UN FACTEUR DE PERFORMANCE ÉCONOMIQUE ?



Paru sur myRHline le 14/09/2012 | Philippe Korda | Management des Ressources Humaines


Se contenter de lier le thème de la convivialité au travail avec celui des risques psychosociaux est une erreur. Au sein d’une entreprise, le fait de maintenir une ambiance de travail positive, où les collaborateurs se sentent intégrés et valorisés, n’est pas seulement réducteur de stress ou d’incertitudes. C’est aussi et surtout le moyen d’améliorer les performances de l’organisation. Pourtant, il convient de donner une définition précise et pertinente de la convivialité et ainsi déterminer de quelle façon cette convivialité peut s’appréhender comme une brique essentielle à la bonne santé (économique et humaine) d’une entreprise.
 
Qu’est-ce que la convivialité au travail ?


Certains pensent à tort que la convivialité en entreprise consiste à organiser de temps à autre quelques moments de détentes lors desquels les collaborateurs vont apprendre à se connaître et s’apprécier. D’après sa racine latine, le mot « convivialité » signifie « vivre avec l’autre ». On touche ici à l’idée du bien-vivre ensemble. Autrement dit, la convivialité n’est pas ponctuelle et en aucun cas ne se décrète. Elle a plutôt vocation à imprégner la culture de l’entreprise. A ce titre, elle se pratique au quotidien. Associé-Fondateur de Korda & Partners, un cabinet de conseil en management, Philippe Korda estime que la convivialité revêt trois dimensions : « De la proximité, par opposition à la distance hiérarchique ; de la simplicité dans les relations, par opposition au formalisme ; et enfin de la bonne humeur. » Certes, une bonne ambiance de travail n’est pas, et de loin, le seul contributeur du bien-être au travail. Si des éléments tels que les conditions matérielles, la sécurité de l’emploi ou encore les perspectives de carrière, sont négligés par le management, la convivialité ne suffira pas. Pourtant, si celle-ci se retrouve dans les projets de l’entreprise (donner du sens à la mission de chacun, reconnaissance du travail, développement de l’esprit collectif…), l’organisation en bénéficiera dans toutes ses composantes.

Ne pas opposer l’économique et l’humain
D’après les travaux de l’Institut Gallup, il s’avère qu’un salarié répondant "oui" à la question
« Avez-vous un meilleur ami au travail ? » a huit fois plus de chance d’être impliqué dans son travail.

(...)

Lire la suite en direct sur le site :
http://www.myrhline.com/actualite-rh/la-convivialite-au-travail-un-facteur-de-performance-economique.html

lundi 28 janvier 2013

LES NOUVELLES CLÉS DU BONHEUR


COMMENT  ÊTRE  HEUREUX  ?

Par Christophe Doré - le 25/01/2013

La question «comment être heureux ?» fascine plus que jamais philosophes, scientifiques, artistes et économistes. Certains y apportent de nouvelles réponses.

Disséqué, analysé, mesuré, servi en livres, en films ou en émissions de télévision, enseigné en cours particuliers, colloques et séminaires, il est un Graal ultime de l'humanité depuis deux mille ans: capricieux, polymorphe, c'est... le bonheur. Le sujet est indémodable et la quête du bonheur a rarement autant concentré les énergies. Il est propulsé sur le devant de la scène par des scientifiques qui en scrutent l'ADN, étudiant la chimie de nos cerveaux à la recherche de la molécule du bonheur. 

D'autres estiment qu'on peut le mesurer et même apprendre à l'apprivoiser. Quant aux tenants du développement personnel, ils misent tout sur la psychologie, défendant l'idée que l'on peut travailler de manière pragmatique pour être plus heureux.

En résumé, on sert le bonheur un peu à toutes les sauces. La chaîne de télévision M6 lance à la fin du mois un nouveau concept de téléréalité «J'ai décidé d'être heureux», où des coachs aident des candidats à retrouver la joie de vivre. Au cinéma, l'amitié, la famille ou la solidarité comme sources de bonheur deviennent «bankables» avec le succès des Petits Mouchoirs, d'Intouchables ou plus récemment de Comme des frères, voyage de trois camarades autour du souvenir d'une amie disparue. 

Dans les librairies, les ouvrages aux titres évocateurs disparaissent des rayons aussi vite qu'ils y sont entrés. L'Homme qui voulait être heureux, de Laurent Gounelle, Quand on veut, on peut!, du pape de la pensée positive, Norman Vincent Peal, ou Le Sel de la vie, de l'anthropologue Françoise Héritier, font partie de ces best-sellers. La tendance n'est pas nouvelle, mais elle s'accentue, comme si le besoin de se retrouver autour de valeurs positives devenait une urgence salutaire.

Seulement 7 % des Français se disent peu satisfaits de leur vie

La suite sur lefigaro.fr/santé : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/01/25/19754-nouvelles-cles-bonheur
Photo :copyright Christophe Doré/Le Figaro/Rea
 

dimanche 27 janvier 2013

FIN DE LA CURE MAIGRIR EN RIANT


REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 21

MERCI À VOUS !

Merci d'avoir lu ce blog fidèlement, jour après jour, et de l'avoir commenté où vous pouviez (puisqu'il parait que c'est difficile ici-même!) Vos encouragements m'ont beaucoup aidée et j'espère que ce blog vous a aussi aidés en retour car c'était son but!

Le témoignage quotidien m'a poussée à agir, sans exception chaque jour et a bousculé ma flemme illimitée. Témoigner et s'appliquer en groupe sont vraiment des aides précieuses qui m'ont aidée à réussir le challenge de reperdre 3kilos 600 en moins de trois semaines dans la joie, sans régime et malgré ma stressante hyperactivité! 


Je me lance un nouveau défi, sans blog cette fois, afin de m'alléger de cinq kilos superflus d'ici à Festi'Bonheur! C'est une manière comme un autre de continuer à prendre soin de moi pour ne garder que le meilleur, que je perde du poids ou non!

Au fait, j'ai pratiqué une des suggestions que je vous ai proposée dans le blog : j'ai consacré 30 minutes cette semaine à me débarrasser d'excès d'objets dans ma cuisine! C'est formidable ! C'est beaucoup moins intimidant qu'un grand nettoyage de printemps! Juste 30 mn par semaine. Et à chaque fois que vous sous séparez d'un objet, que ce soit pour l'offrir, le vendre ou le jeter, vous sautez de joie en criant "Je m'allège!" Ça affole un peu la maisonnée mais ça fait vraiment du bien! A tout le monde d'ailleurs! :-)

L'étape suivante va être de proposer à un petit groupe de six personnes motivées de suivre pendant une semaine le programme afin de se familiariser avec les différentes techniques de la rigologie et de se booster tous ensemble avec, en prime, une séance professionnelle de relooking et des massages qui doivent rendre l'aventure aussi plaisante qu'inoubliable.

Après la semaine de Cure Maigrir en riant, le suivi dans le forum privé devrait aussi être d'une grande aide pour ne pas se sentir isolé et poursuivre vers de plus en plus de bonheur quelles que soient les circonstances, l'isolement ou l'entourage pas toujours aidant!

Vous en rêvez? Inscrivez-vous rapidement sur le site www.ecolederire.org pour une semaine près de Montpellier au Hameau de l'Etoile la première semaine de Juin 2013! (Mars à Frontignan est déjà complet, désolée!)

En attendant prenez bien soin de vous !


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samedi 26 janvier 2013

OBÉSITÉ ET NOTION DU TEMPS


REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 20

Samedi de janvier, premier week-end à la maison depuis un mois, zéro degré, je rêve de cocooning et jette un œil distrait sur mon planning pour voir si je n'oublie pas un rendez-vous. Horreur! J'ai cours d'Aquagym dans une heure. Oh non! Ce n'est vraiment pas un temps à batifoler en maillot de bain.

Je vous épargne les douze milles excuses pour ne pas y aller, toutes plus valables les unes que les autres, qui m'ont sauvagement assaillies.

  • Là, dans le moment présent, il n'y a aucun doute sur le fait que je n'ai AUCUNE ENVIE de sortir du lit, me doucher, enfiler mon maillot, dégivrer le parebrise de la voiture, arriver dans l'odeur de chlore et me déshabiller les pieds nus sur le carrelage. Si je m'arrête à l'analyse objective de mes ressentis à ce moment présent, c'est sans ambiguïté, je n'y vais pas.
  • J'essaye de m'imaginer dans l'eau. Est-ce que je serai contente à ce moment-là? Après avoir vaincu les obstacles précités? Ma foi oui! J'adore cette prof et cette piscine. J'adore cette heure à faire le canard, la course, les éclaboussures, les frites, les planches, sautiller et tout ce groupe de chouettes nanas qui régressent joyeusement. Je ne me suis pas inscrite par hasard. J'aime y être.
  • Et puis après la séance? Comment vais-je me sentir? Je le sais très bien : en pleine forme, vivante, débordante d'énergie, de joie de vivre, d'espièglerie, de créativité. Et de fierté aussi ! Fierté d'avoir surmonté ma flemme et bougé mon corps ensommeillé.

Le bilan est fait. Plus de points en faveur d'y aller plutôt que de rester confortablement au creux de mon lit douillet à bouquiner en écoutant ronronner Liloo et Pop.

LE BILAN EST FAIT INTELLECTUELLEMENT MAIS LE DÉSIR DE BOUGER PHYSIQUEMENT N'EST TOUJOURS PAS LÀ.


Que faire?
- Me faire violence. Mais j'ai horreur de l'idée même de me faire violence!
- Me dire que je n'ai pas le choix. Mais je sais bien que ce n'est pas vrai. On ne fait pas l'appel au cours.

Je pense au personnage de la série Monk, obsessionnel qui réaligne tout ce qu'il voit en affirmant : "Vous me remercierez plus tard". Et cette phrase se met à scintiller en lettres d'or au-dessus de mon lit:

VOUS ME REMERCIEREZ PLUS TARD !


Je cherche toujours ce que mes copines minces feraient si elles étaient à ma place. C'est extrêmement instructif car, en général, elles ne font pas les mêmes choix que moi et le résultat est qu'elles n'ont pas le même corps que moi…

Nos choix, nos goûts, nos idées et surtout nos actions nous façonnent.

Mylène aurait déjà terminé de prendre sa douche et serait sur le départ sans s'être posé l'ombre de la première question qui m'assaille. Elle me dirait : "Ben qu'est-ce que tu fais? Dépêche-toi on va à la piscine". Ben oui quoi? Où est le problème? On a cours, on y va.

Je pense que mes copines minces sont déjà dans LE PLAISIR À VENIR et l'appréhende tellement bien qu'elles font totalement abstraction des efforts à faire pour l'atteindre alors que moi je suis dans la recherche du PLAISIR IMMÉDIAT comme lorsque je mange un éclair au chocolat, sans tenir compte de tout ce que j'ai mangé avant ou de la tristesse du lendemain en montant sur la balance.


Les copines minces disent "Ah non, je ne peux pas, j'ai vraiment trop mangé!" ou encore "Non, il faut que je fasse attention, j'aimerais perdre… 500 grammes (!)" alors que moi JE SUIS TOTALEMENT DANS L'INSTANT PRÉSENT, face à l'éclair au chocolat et plus rien n'existe en dehors du plaisir de le déguster maintenant, ni le repas qui l'a précédé, ni la pesée qui suivra.

ET SI CEUX QUI ONT UN POIDS STABLE APPRÉHENDAIENT LE TEMPS DIFFÉREMMENT DE CEUX QUI SONT EN EXCÈS?

Si leur système de régulation était plus ample, englobant passé, présent et futur alors que l'obèse vivrait, face à la nourriture, une succession d'instants présents à l'appétit toujours prêt, tel un bon scout? La méditation de la pleine conscience nous ramenant à l'instant présent ne suffirait pas. Il faudrait y ajouter, à chaque prise de nourriture, un court instant de réflexion non seulement sur nos ressentis du moment mais sur notre globalité depuis hier et jusqu'à demain…

VOUS ME REMERCIEREZ PLUS TARD !


Merci Monk! Les lettres clignotaient toujours. J'ai pensé au plaisir que j'allais avoir dans l'eau puis en rentrant dans 90 petites minutes. La vie que j'allais sentir vibrer en moi tout le week-end, l'estime de moi qui remontrait et j'ai sauté sous la douche!

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vendredi 25 janvier 2013

J'AI DECIDE D'ETRE HEUREUX ! 1 - Psychologie positive et bonheur




J'AI DÉCIDÉ D’ÊTRE HEUREUX SUR M6 LE 31 JANVIER 2013 A 20H50

L'émission à ne pas manquer !

Après la tentative avortée de France 2 l'an dernier avec l'émission de Frédéric Lopez "Secrets de Bonheur" M6 tente à son tour l'expérience en proposant à six volontaires qui se sentent moins heureux que la moyenne de suivre un protocole scientifiquement validé, pour apprendre à être heureux et à le rester. Trois coachs et psychologues vont leur faire appliquer durant huit semaines des exercices de psychologie positive.

Avec Stéphane Plaza comme électron libre dubitatif et sous la houlette de Charles Martin-Krumm, chercheur en psychologie positive.


Lien vers le super Guide du Bonheur mis en  ligne sur M6.



LA SCIENCE DU BONHEUR


La science du bonheur

le 24/01/2013
INFOGRAPHIE - Le bonheur n'est pas seulement dans le pré, il est surtout dans la tête. Les neurosciences dévoilent la chimie de cet état de grâce et s'invitent dans un débat jusqu'alors réservé aux philosophes et aux poètes.


Paradoxalement, c'est en étudiant les mécanismes impliqués dans la douleur, la dépression ou les troubles bipolaires que les chercheurs ont découvert certaines sources du bonheur. L'amour, le plaisir, le bien-être, la plénitude, facteurs que l'on considère comme des composants du bonheur, ont des constituants biologiques.

Les neurobiologistes ont pénétré les structures cérébrales qui interviennent lorsque les émotions nous envahissent, ils ont observé les rouages mis en jeu dans la régulation des humeurs et décrypté les processus qui s'enchaînent pour nous remplir d'un sentiment de bonheur... ou nous plonger dans celui du malheur.Ces travaux se succèdent depuis les années 1970, grâce aux progrès des techniques d'investigation biologique et de l'imagerie cérébrale. De fait, les neurosciences s'invitent de manière rationnelle dans cette quête millénaire, jusqu'ici l'apanage des philosophes, des poètes et plus récemment des psychologues. Ils proposent d'autres clés aux portes du bonheur. L'approche reste prudente, tant le sujet est complexe.

Car, si le bonheur est dans la tête, aucune zone ne lui est réservée. Il se dissimule, de façon diffuse, dans les méandres des structures profondes du tissu cérébral, du tronc cérébral au cortex frontal.

Ce que Jean-Pierre Ternaux, directeur de recherche honoraire du CNRS et coordonnateur de l'Observatoire du bonheur *, nomme joliment la «symphonie cérébrale». «On y trouve l'hypothalamus latéral, le lobe limbique, le complexe amygdalien, le noyau accumbens, l'hippocampe... des zones agitées de réseaux de cellules nerveuses responsables des états émotionnels, dans lesquelles des molécules et des neurotransmetteurs jouent un rôle fondamental dans la transmission des messages entre les neurones.»



PERDRE DU POIDS PAR VAGUES


REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 19

Avez-vous remarqué que la perte de poids (pardon "le gain de légèreté" disent les adeptes de la pensée positive…) s'effectue par vagues?!

Lorsque l'on se pèse tous les jours on remarque que, tout à coup, quoi que l'on fasse, on prend un peu de poids tous les jours. Puis on mange moins, pour une raison ou une autre, et alors on perd quelques centaines de grammes pendant quatre ou cinq jours, même si on s'est offert une gâterie au milieu.

C'est le temps de latence du cercle vertueux de l'allègement et du cercle vicieux de l'empâtement. Notre corps ne répond pas au quart de tour, en "direct live" à ce que nous lui faisons subir. Il stocke et puise dans ses réserves selon sa propre logique.

APPRENONS À SURFER SUR CES VAGUES!

  • Réjouissons-nous lorsque nous sommes en phase d'allègement mais sans nous autoriser des folies "comme si" tout à coup plus rien ne nous faisait grossir!
  • Faisons le dos rond lorsque nous sommes en phase de prise de poids malgré nos efforts, sans céder au découragement, en n'oubliant pas qu'il y a une justice, même en matière d'obésité, et que si nous mangeons moins et brûlons plus de calories, fatalement, d'ici quelques jours, nous nous allègerons!

BREF, ACCROCHONS NOUS QUAND LA MARÉE MONTE!

Belle journée à vous !

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jeudi 24 janvier 2013

MAIGRIR EN RIANT, ÇA MARCHE !



REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 18

Il m'a fallu moins des trois semaines prévues pour reperdre dans la joie les 3 kilos pris en trois semaines de festivités pantagruéliques !

En fait, ils étaient reperdus dès la première semaine d'attention à moi-même, mais je souhaitais consolider cette perte car je savais que j'avais de nouveau une semaine d'excès (nourriture, déplacements, stress, fatigue) à vivre à l'intérieur même de ces trois semaines de reprise en mains.

QU'AI-JE DONC FAIT POUR M'ALLÉGER SI JOYEUSEMENT?


Un ensemble de choses qui mises bout à bout ont fonctionné et dont le lien a été l'amour inconditionnel que je me suis autorisée à me porter à moi-même. Et c'est ce qui est le plus difficile pour moi.

Je tiens à préciser que si cela a fonctionné aussi rapidement et efficacement c'est parce que je connais déjà bien "Maigrir en riant" pour avoir perdu 30 kilos avec il y a deux ans. Je n'ai donc pas eu à repasser par les trois premiers mois de découverte du programme car tout ce qui est acquis l'est définitivement et que l'on peut donc s'y remettre en une simple journée.

Voici donc, en vrac, les éléments du programme Maigrir en riant que j'ai appliqués durant ces trois semaines :

  1.     La base (décrite pas à pas dans "Maigrir en riant") : pleine conscience de ce que je mange : choisir des aliments plaisants, ne manger que lorsque j'ai faim et m'arrêter dès que je n'ai plus faim.
  2.     Marcher tous les jours au moins trente à quarante-cinq minutes de préférence dans la nature (il a fallu que je ruse car certains jours j'ai cru que je n'y arriverais jamais!)
  3.     Pratiquer une activité physique ludique trois fois par semaine : aquagym, danse, pilate, yoga…
  4.     Méditer absolument tous les jours au moins trente minutes (j'ai varié à l'extrême : méditation zazen, pleine conscience, reiki, sourire sans raison, dynamique, kundalini et, évidemment, méditation de l'amour de soi et du rire en m'aidant du CD de véritables crises de fou rire enregistrées pour Maigrir en riant !
  5.    Me coucher un peu plus tôt tous les soirs et faire des siestes express dès que possible.
  6.     Cultiver, même seulement une minute à droite à gauche, ma joie de vivre en chantant, riant, jouant, dansant et m'autorisant les "pauses blagues idiotes avec les copines" au besoin par téléphone ou mail.
  7.     Me chouchouter, même hyper brièvement, dès que j'ai pu dans la salle de bains en étalant en conscience mon huile pour le corps et les cheveux.
  8.     Exprimer ma gratitude dès que possible.
  9.     Sourire à absolument tout le monde une heure entière de temps en temps. C'est fou ce que cela fait du bien : à soi et aux autres!
  10.     Pratiquer quotidiennement l'hygiène émotionnelle pour ressentir la fluidité en moi et laisser passer les émotions au fur et à mesure sans les stocker.
  11.     Savourer consciencieusement le plaisir de ne plus être boudinée, le ventre tendu, digestive et fatiguée et 
  12.     tout faire pour stimuler quotidiennement mon énergie.

Maintenant je vais m'attaquer aux cinq kilos que j'avais doucement repris en deux ans et préparer une Cure Maigrir en Riant d'une semaine en Mars à Frontignan pour ceux et celles qui auraient envie de suivre cette méthode de rêve qui nous conduit au meilleur de nous-même dépouillés de nos excès.

Au programme de cette Cure Maigrir en Riant : apprentissage des différentes techniques, rigologie, méditation, hygiène émotionnelle, rire, amour de soi et de la vie, massages et relooking complet! Waouh ! J'en rêve déjà !

À demain!


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mercredi 23 janvier 2013

AUJOURD'HUI JE DANSE POUR VIVRE !

REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 17






Je pars danser ! Bonne soirée à vous !

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5 TECHNIQUES DE RIGOLOGIE POUR SE CONNECTER AU MEILLEUR DE SOI-MÊME


À paraître le mois prochain sur le super site Oh my Food!  dans un dossier spécial consacré au rire et à l'optimisme avec une interview de Corinne Cosseron effectuée par Carole Babin-Chavaye.

5 astuces pour vous connecter au meilleur de vous-même!

Quelles que soient les circonstances, il y a toujours une partie de vous-même qui reste immuablement en paix, souriante, optimiste et heureuse. Si, si ! Même au milieu des embouteillages, avec une heure de retard, quand vous ne savez vraiment plus où vous l'avez rangée, elle existe quand même!

Voici cinq techniques de rigologie pour vous y reconnecter instantanément !

1 – Stressé? Inspirez à fond, crispez tous vos muscles en montant les épaules et expirez en soufflant énergiquement "Ouf!".
2 – Installez-vous confortablement, évoquez un souvenir heureux, inspirez-le lentement comme un parfum qui sent très bon et savourez le bien-être dans tout votre corps.
3 – Arrêtez–vous, soufflez tout votre air, puis inspirez le plus lentement possible par le nez en laissant un sourire se dessiner sur votre visage. Vous venez d'informer votre cerveau que vous êtes heureux (même sans raison) et il vous envoie en retour une giclée d'hormones du bonheur.
4 – Gardez ce sourire et souriez à 100% des personnes que vous croisez pendant une heure. (Et il va vous arriver des aventures imprévisibles...)
5 – Puis regardez-vous dans le miroir, faites-vous des grimaces, inspirez en levant les bras et relâchez tout l'air sur le son Hahaha! Radical pour se prendre moins au sérieux!

Corinne Cosseron, Maigrir en riant, Trédaniel, 2013, www.ecolederire.org

mardi 22 janvier 2013

10 CHOSES QUE FONT LES GENS HEUREUX


Voici un article rédigé par une avocate qui vient de paraître dans le Huffington Post et que je trouve particulièrement malin, synthétique et inspirant!

 

Dix choses que les gens heureux font différemment des autres


Huffington Post - Publication: 14/01/2013

"Le bonheur est d'avoir dans une autre ville une grande famille soudée et attentionnée".
George Burns

Jusqu'à quel point êtes-vous heureux et pourquoi ? C'est une question à laquelle j'ai consacré pas mal de temps, non seulement parce qu'elle concerne ma propre évaluation du bonheur, mais aussi ma famille, mes amis et les personnes avec lesquelles je travaille. Depuis que j'ai obtenu mon diplôme de psychologie positive, j'ai travaillé avec des milliers de gens dans des circonstances très différentes, je les ai observés et j'ai pu constater que les gens heureux ont une façon qui leur est propre d'aborder la vie. Voici ce en quoi ils agissent différemment :

  1. Ils s'entourent d'un fort tissu social. Les gens heureux sont connectés à leurs familles, leurs voisins, leurs lieux de culte et leurs communautés. Ces connexions agissent comme un tampon contre la dépression et créent des liens forts et importants. Le taux de dépression a augmenté dramatiquement durant les 75 dernières années. L'Organisation mondiale de la Santé prévoit que d'ici 2020, la dépression sera la seconde cause de décès dans le monde, touchant près d'un adulte sur trois. Bien que plusieurs raisons peuvent probablement expliquer cette augmentation, l'une des plus importantes pourrait être la déconnexion des gens avec leurs familles et leurs communautés.

  2. Ils s'engagent dans des activités qui conviennent à leurs forces, à leurs valeurs et à leur façon de vivre. Quand on parle de stratégies du bonheur, il n'y a pas qu'une solution qui convienne à tous. De la même façon que vous adaptez vos exercices à votre objectif sportif, les gens heureux agissent en fonction de leurs buts émotionnels. Certaines stratégies connues pour améliorer la joie de vivre me paraissent un peu trop mièvres, mais celles qui marchent le mieux me permettent d'exercer ma bienveillance, d'exprimer ma gratitude, et de m'engager complètement. Le Dr Sonja Lyubomirsky propose dans son livre Comment être heureux et le rester, un merveilleux test d'auto-évaluation permettant de sélectionner les stratégies les plus adaptées à votre tempérament et à vos valeurs.
  3. Ils expriment leur reconnaissance. La gratitude fait du bien au corps. Elle vous aide à mieux gérer le stress et les traumatismes, améliore l'amour propre et l'estime de soi quand vous réalisez combien vous avez déjà accompli, et aide souvent à chasser les émotions négatives. Des recherches ont également indiqué des corrélations entre l'expression d'une force de reconnaissance et le sentiment de satisfaction pour sa vie [1].
  4. Ils abordent la vie de manière optimiste. Les gens heureux contiennent leurs tendances pessimistes de trois façons. Tout d'abord, ils concentrent leur temps et leur énergie sur ce qu'ils peuvent contrôler. Ils savent comment passer à autre chose si certaines stratégies ne fonctionnent pas ou s'ils ne peuvent pas contrôler une chose en particulier. Ensuite, ils sont conscients que « ça aussi, ça va passer ». Les gens heureux savent serrer les dents face à l'adversité car ils ont compris que si la vie ne peut pas être un long fleuve tranquille, les aléas ne durent pas. En fin de compte, les gens heureux sont doués pour compartimenter leurs vies. Ils ne permettent pas qu'un problème dans un domaine ne viennent contaminer le reste de leur existence.
  5. Ils savent que c'est bien de faire le bien. Les gens heureux aident les autres en faisant du volontariat. Des recherches ont montré un lien profond entre un comportement altruiste et le bien-être, la santé et la longévité. Agir de façon bienveillante vous permet de vous sentir bien par rapport à vous-même et aux autres, et les émotions positives qui en résultent améliorent votre résistance physique et psychologique. Une étude a suivi cinq femmes ayant souffert de sclérose en plaques durant trois ans [2]. Ces femmes se sont portées volontaires pour soutenir 67 autres personnes souffrant de cette même maladie. Les résultats ont montré que ces cinq volontaires ont connu des changements positifs qui se sont révélés plus importants que les améliorations expérimentées par les patients qu'elles avaient soutenues.
  6. Ils savent que les richesses matérielles n'occupent qu'une petite part de l'équation. Les gens heureux considèrent de façon saine la joie que pourraient leur apporter des possessions matérielles. Dans son livre Comment être heureux et le rester, Lyubomirsky explique qu'en 1940, la proportion d'Américains déclarant être « très heureux » était d'environ 7,5 sur 10 [3]. Or, à combien estimez-vous cette proportion aujourd'hui, avec les iPods, la télévision couleurs, les ordinateurs, des voitures plus rapides, et un revenu qui a plus que doublé ? 7,2. Non seulement les biens matériels ne font pas le bonheur, mais ce sont même d'importants facteurs de mécontentement. Une étude a observé l'état d'esprit de 12.000 élèves en première année universitaire, âgés de 18 ans, puis les a interrogés sur leur état de satisfaction par rapport à leur vie lorsqu'ils avaient 37 ans. Ceux qui avaient exprimé des aspirations matérialistes à 18 ans étaient moins satisfaits de leurs vies vingt ans plus tard [4].
  7. Ils ont développé de saines stratégies pour gérer les aléas de la vie. Les gens heureux rencontrent des épisodes stressants dans leurs vies mais ils ont mis au point des stratégies gagnantes pour les surmonter. Savoir rebondir après un traumatisme fait partie des changements positifs personnels résultant de quelqu'un s'efforçant de gérer des événements existentiels très difficiles. Selon les chercheurs Tedeschi et Calhoun, il y a 5 facteurs d'amélioration après la gestion d'un événement difficile : une façon renouvelée d'apprécier la vie, la découverte d'autres manières d'aborder la vie, une plus grande force personnelle, de meilleures relations avec autrui et un essor de la spiritualité. Les gens heureux deviennent doués pour voir le bien pouvant résulter de moments difficiles.
  8. Ils se concentrent sur la santé. Les gens heureux prennent soin de leur corps et de leur esprit et savent gérer leur stress. Se concentrer sur sa santé ne se limite pas cependant à faire de l'exercice. Les gens heureux agissent en fait comme des gens heureux. Ils sourient, ils s'investissent dans les choses et apportent un niveau optimal d'énergie et d'enthousiasme à ce qu'ils font.
  9. Ils cultivent leurs émotions spirituelles. Selon Lyubomirsky, de plus en plus de chercheurs suggèrent que les personnes croyantes sont plus heureuses, en meilleure santé et se remettent plus facilement d'un traumatisme que les personnes laïques [5]. De plus, les auteurs Ed Diener et Robert Biswas-Diener expliquent dans leur livre Happiness: Unlocking the Mysteries of Psychological Wealth, que les émotions spirituelles sont essentielles à la richesse psychologique et au bonheur, car elles nous aident à nous connecter avec ce qui nous dépasse.
  10. Ils savent où ils vont. Avancer dans le but d'avoir une vie qui ait un sens est l'une des stratégies les plus vitales utilisées par les gens heureux. J'ai sous-estimé l'importance du sens de la vie quand j'étais avocate, mais c'est devenu évident pour moi lorsque je me suis retrouvée au bout du rouleau. Selon Diener et Biswas-Diener, les gens heureux ont des valeurs auxquelles ils tiennent et ont des résultats qui valent la peine qu'on se donne du mal pour les obtenir.
Le grand Dr. Chris Peterson, aujourd'hui disparu, a évoqué son propre chemin vers le bonheur en ces termes :
"J'ai passé mes premières années de jeune adulte à repousser à plus tard beaucoup de petites choses dont je savais pourtant qu'elles me rendraient heureux. J'ai eu la chance de me rendre compte un jour que je n'aurais jamais le temps de les faire, à moins de trouver ce temps nécessaire. Et c'est là que le reste de ma vie a commencé."

A mesure du temps qui passe, les gens heureux ont développé un éventail spécifique de stratégies qui leur fait voir la vie différemment - un éventail équilibré entre compétences et émotions.

Et vous, qu'ajouteriez-vous à cette liste ?

CRÉDITS :

Accès direct à l'article du Huffington Post :
http://www.huffingtonpost.fr/paula-davislaack/dix-choses-que-les-gens-heureux-font-differemment_b_2469828.html?utm_hp_ref=fb&src=sp&comm_ref=false

Entrez en contact avec Paula David Laack, l'auteur de ce billet, avocate reconvertie en experte du traitement du stress, via :
Son site Internet : www.marieelizbethcompany.com
Facebook : www.facebook.com/marieelizabethcompany
Twitter : www.twitter.com/pauladavislaack

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[1] Park, N., Peterson, C., & Seligman, M.E.P. (2004), "Strengths of character and well-being", Journal of Social and Clinical Psychology, 23(5), 603-619.
[2] Schwarz, C.E., & Sendor, M. (1999). "Helping others help oneself : Response shift effects in peer support", Social Science and Medicine, 48, 1563-75.
[3] Lane, R.E. (2000). "The loss of happiness in market democracies", New Haven, Yale University Press. Voir Figure 1.1, p.5.
[4] Nickerson, C., Schwartz, N., Diener, E., & Kahneman, D. (2003). "Zeroing in on the dark side of the American dream: A closer look at the negative consequences of the goal for financial success", Psychological Science, 14, 531-36.
[5] Ellison, C.G., & Levin, J.S. (1998). "The religion-health connection: Evidence, theory, and future directions", Health Education and Behavior, 25, 700-20.


AUCUNE ÉNERGIE POUR SUIVRE LE PROGRAMME


REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 16

Il y a des jours comme ça. Il fait froid. Ce matin la méditation a été toute seule. J'aurais même pu ne jamais m'arrêter, figée sur mon zafu. Mais j'ai beaucoup de boulot. Cette semaine de "Perte des kilos pris pendant les fêtes", JE DOIS MARCHER TOUS LES JOURS. Je sais que c'est incontournable.

Les excuses ont commencé à défiler :
•    "Je suis en retard dans mon boulot."
•    "Il fait un temps à ne pas sortir, je suis déjà frigorifiée à l'intérieur."
•    "De toutes façons, j'ai médité ce n'est déjà pas si mal."
•    "Un jour sans marcher ce n'est pas grave."
•    "Je vais bien manger en conscience."
•    "J'ai la flemme, c'est important aussi de se respecter."


Là je me suis dit que je charriais vraiment!

COMMENT SORTIR QUAND ON N'EN A VRAIMENT PAS ENVIE ?!

J'ai essayé d'égrener les arguments :
•    "Plus qu'une semaine de programme, je peux faire un effort encore une semaine."
•    "J'ai des comptes à rendre sur le blog, je dois montrer l'exemple."
•    "C'est un défi : comment réussir à stimuler sa motivation quand on s'en fiche complètement?"
•    "Cela va m'aider à reperdre du poids et demain matin, je serai contente."
(Ça m'a paru loin, tout à coup, demain…)
•    "Au bout d'une minute dehors, je SAIS que je serai fière de moi."
•    "Je n'ai aucun choix. Je n'ai qu'à imaginer que j'ai rendez-vous avec quelqu'un."


À ce moment-là mon mari est passé en coup de vent à la maison avant de repartir à son bureau qui est à dix minutes à pieds.

- Tu retournes au bureau à pieds?
- Pourquoi pas?!
- Je t'accompagne !


La grille à peine fermée, évidemment, j'ai été contente. Il fait beau finalement, la lumière d'hiver est impressionnante. J'ai papoté joyeusement avec mon homme. Au retour je suis allée saluer mon figuier. Bilan des courses : 40 mn de marche, je suis pleine d'énergie et je n'ai même plus froid à l'intérieur.

Le plaisir arrive en une minute et les précieuses endorphines en vingt. Je serre très fort mon pouce contre mon index pour ancrer ce bonheur. La prochaine fois que j'aurai la flemme de sortir, je referai ce geste pour que remonte en moi ce cocktail de plaisir que je ressens en ce moment même!

CONCLUSION :

Donnez rendez-vous à qui vous voulez, la voisine qui promène le chien par exemple, car c'est toujours plus facile à deux. Connaissez vos freins et trouvez vos parades!

MAIS QUOI QU'IL ARRIVE : BOUGEZ ! IL N'Y A QUE DES AVANTAGES : VOUS SEREZ PLUS HEUREUX, PLUS TONIQUE, PLUS CONTENT DE VOUS, PLUS CRÉATIF, PLUS MUSCLÉ, PLUS MINCE, VOUS AUREZ BONNE MINE ET J'EN OUBLIE !


A demain !


ACCÈS A L’INTÉGRALITÉ DES 21 JOURS DE LA CURE MAIGRIR EN RIANT 
POUR REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES :

lundi 21 janvier 2013

BILAN AU BOUT DE DEUX SEMAINES DE MAIGRIR EN RIANT


REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES EN TROIS SEMAINES! JOUR 15

Comme prévu regrossi mais seulement d'un kilo en prenant des desserts à tous les repas et surtout en voyageant énormément et en étant stressée +++

 Durant le week-end festif remuant mais plaisant je n'ai pas grossi.

Plus qu'une semaine de programme Maigrir en Riant pour reperdre les kilos pris pendant les fêtes. J'espère bien frimer lundi prochain en annonçant que j'ai bel et bien reperdu ces trois kilos de plaisirs excessifs! (Mais tellement bons!)

Vous aussi accrochez-vous! Le jeu en vaut vraiment la chandelle !


ACCÈS A L’INTÉGRALITÉ DES 21 JOURS DE LA CURE MAIGRIR EN RIANT 
POUR REPERDRE LES KILOS PRIS PENDANT LES FÊTES :

COMMENT CULTIVER SON BONHEUR QUAND ON EST DÉPRIMÉ



A l'occasion du Blue Monday voici un article paru dans Top Santé qui vous aidera peut-être !


Top Santé  – par Quitterie Pasquesoon - 21 janvier 2013

DÉPRIME: 7 FAÇONS SIMPLES DE PENSER HAPPY

Le lundi 21 janvier, le fameux "Blue monday", serait le jour le plus déprimant de l'année. Pour éviter le coup de blues, on reprogramme son esprit à penser positif. Voici nos astuces pour être plus heureux(se) au quotidien.
1. Bonheur: aimez les petits riens du quotidien

1 - Être heureux et penser Happy, c’est un exercice qui se pratique à chaque instant de la vie. Boire un café parfumé au réveil, ouvrir ses volets et apprécier le soleil, se ravir d’un moment passé avec des amis ou tout simplement apprécier un déjeuner avec ceux qu’on aime : en voilà de la joie !
Apprécier ces instants apporte de la substance à la vie. Les petites joies font ainsi les grands bonheurs.

À lire dans cet article :


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